La France boucle son année 2025 sur une victoire maîtrisée à Bakou. Sans véritable enjeu – le billet pour le Mondial 2026 déjà en poche –, les Bleus cherchent pourtant à imposer leur rythme. L’Azerbaïdjan surprend d’abord le public avec une ouverture du score rapide, et le stade s’enflamme. Les Bleus répliquent aussitôt, car ils refusent de terminer l’année sur une fausse note.
Didier Deschamps fait tourner son effectif. Et cette rotation transforme le match. Les « doublures » saisissent leur chance, montrent de l’envie et imposent une intensité que l’adversaire peine à suivre. Jean-Philippe Mateta, aligné en pointe, profite de l’occasion.
La France retourne le score, puis contrôle le tempo, car elle sait gérer ces matchs sans pression. Les automatismes se créent, les nouveaux cherchent à gagner des points, et les cadres guidant l’équipe assurent la stabilité nécessaire. Le collectif avance, ensemble.
En deuxième période, la maîtrise française s’accentue, car l’Azerbaïdjan manque d’arguments. Les Bleus accélèrent par séquences, structurent leurs attaques, trouvent des espaces. Le troisième but scelle une soirée où les remplaçants deviennent des acteurs centraux. Les supporters assistent alors à une équipe qui ne joue pas seulement pour la victoire, mais aussi pour confirmer son caractère.
Pour clore l’année, les Bleus montrent de la sérénité, de la profondeur dans l’effectif et une capacité à répondre même quand le contexte pourrait les endormir. Une victoire qui, sans être historique, envoie un signal clair : la France possède des titulaires… et des doublures prêtes à bousculer la hiérarchie.